Un fouteur de merde plutôt mignon x)

Voila l'animalerie, endroit vaste, éclairé, bruyant. L'endroit que tous les nekos détestent mais que tous les humains raffolent. Les humains sont tellement puérils en rentrant dans cette boutique, ils sont émerveillé et se mettent a crié partout ~
Tous les chats font les lèches culs, ils ronronnent devant les humains, les câlines et rendent les humains incontrôlables tellement ils sont mignon. Pourtant ma cage, semble vide et les humains ne s'arrêtent pas pour regarder le contenue. Cela m'arrange. Je me met tout au fond pour pas que les visiteurs me voient. Et a cause de cela, je me fait frappé par le directeur et je suis obligé de faire des tâches abominables. Celui ci me nourrit aussi, moins que les autres. Il préfèrerait que je meurs plutôt que de gardé cette "pourriture" de chaton mal élevé.
De toute façon si un humain m'approche je n'hésiterais pas a le mordre, ou le griffé.
Mais pour l'instant, je suis recroquevillé sur moi même et joue du doigt avec une petite balle en plastique. Sans bruit, sans mot. J'essaie de ne pas me faire remarqué, comme ça je ne me fais point acheté.

Voilà une heure que je marchais dans la rue, escortée par mon fidèle majordome humain : James. Celui ci me parlait de mes responsabilités en tant qu'héritière ultime de la famille Montespan, mais je ne l'écoutais qu'a moitié, comme d'habitude, son blabla m'énervait.
Au bous de quelques temps, je sentis que ma tête allait explosée si il ne taisais pas, déjà qu'il m'avait refilé la migraine.
- James. Fermez là. Dis-je sêchement.
Il s'arrêta de suite de parler, comme si on lui avait brulé les lèvres et il baissais les yeux, il avait appris qu'avec moi, on ne croisais jamais au grand jamais mon regard.
Et tandis que nous nous remîmes à marcher, nous passâmes devant une animalerie. Je m'arrêtais et regardais la vitrine.
Les nekos, ce n'était pas ce qui me manquais. J'en avais exactement 58 à la maison... Ou plutôt au château ! D'ailleurs, toutes ses créatures avaient fini, qu'elles soit rebelles ou non, par m’obéir. Aucune n'avaient tenue. Je me souvenais d'un neko rebelle, le plus forte tête que j'ai eue.... Après 2 semaines sans manger, il avait fini par craquer.
Bref. j'entrais dans la petite boutique, accompagné comme toujours par James.
A l'intérieur, des clients hurlaient et s’excitaient devant les cages. Je levais les yeux au ciel. N'importe quoi.
Une vendeuse vint vers moi et me souris, elle s'inclina en se rendant compte de qui j'étais.
- Mademoiselle de Montespan ! Quelle plaisir. Nous n'attendions pas votre visite...
Je soupirai et désignais mon front. J'expliquais mon mal de tête abominable et la vendeuse m'envoya désolée.
Je parcourais les cages des yeux, marchant dans la boutique et en remarqua une... Vide ?!
Je fronçais les sourcils et appelait la vendeuse.
- Elle est vide cette cage ?
Elle soupira, et je devinais qu'un hybride rebelle, donc banal, s'y trouvait. Il me faisais bien rire les nekos, à se croire différent parce qu'ils sont rebelles... Pff.
- Montrez moi. Ordonnais-je.
Elle s’exécuta et ouvris la cage.

Je voyait des ombres défilé devant ma cage sans s'arrêter plusieurs, mais je ne les regardait pas, j'étais préoccupé par ma balle en plastique. Comment est ce qu'il mette la petite boule a l'intérieur ? Mmmmh ; c'est fâcheux ... Je l’examinait la mordait et essayer de l'ouvrir par tous les moyens.
Puis je vis des gens s'arrêter, là. Devant ma cage, non ...
- Montrez moi. Dis une voie de jeune fille plutôt sure d'elle apparemment.
Je pencha la tête sur le coté et les regardait attentivement. Sans les approcher, ils me faisaient peur. Je suis pas habitué a autant de monde devant ma cage, c'est tout simplement impossible. Pfeu, elle va en avoir marre et en choisir un autre, oui.
Puis la vendeuse ouvrit la cage, la balle tombât de mes mains, je n'est pus l'en empêcher.
Je feula essayant de les écarter, je continuais de feuler malgré moi, le plus possible.

La vendeuse ouvrit la cage et attrapa des gants anti-griffe ou morsures. Je soupirai, en plus d'être laides, ces sâles bêtes mordaient...
Elle plongea sa main dans la cage et attrapa le chaton par la peau du cou, qu'elle ramena vers nous. Je découvris l'individu.
C'était un mâle, avec des cheveux roses, peu commun. Il n'était pas très grand, il devait faire environs la même taille que moi. Mais je remarquais quelque chose, c'était qu'il n'était pas trop laid, comme tout les autres nekos de ce magasin qui étaient absolument affreux.
- Eh bien. Tu n'es pas trop laid toi.

Cette vendeuse, je la détestais ! Je lui mordais très yeux la main pour la peine de m'avoir ramener devant eux. J'étais éblouis par cette lumière tellement forte.
Je ferma les yeux et la lâcha. J'étais a quatre pattes, devant ces jeunes gens. Quelle belle position ! TT
- Eh bien. Tu n'es pas trop laid toi.
J'ouvris doucement les yeux pour la regarder de bas en haut. Je ne lui répondit pas, de toute façon la vendeuse va lui dire -comme toujours- "vous ne voulez pas regarder les autres neko ?".
Pfeu, elle a intérêt de lui dire ça aussi cette fois !
Ma queue de chat bougeait de gauche a droite nerveusement.

Je continuais de regarder le neko, interessée, James soupira.
- Mademoiselle, votre père m'a prié de vous rammené pour 8 heures...
Je le coupais net.
- La ferme James. Je ne suis plus une gamine, je sais ce que j'ai à faire. Alors fermez là et contentez vous de faire votre travail, c'est à dire : obéïr à mes ordres.
Il soupira une nouvelle fois et fis une courbette ridicule mais obligatoire.
Effectivement, la vendeuse me posa la fameuse question, et je souris, refusant l'offre, je me penchais vers l'animal et plongeais mon regard impénétrable dans le sien.
- Tu as un nom ? Demandais-je .

Je regardais le majordome, amusé, même si mon travail serait d'obéir, peut importe, ça me faisait toujours rigoler. J'écoutais ainsi, leur conversation inintéressante.
Puis la vendeuse, proposa la phrase que j'attendais a la fille. J'étais heureux dans ma tête, jusqu'à ce qu'elle refuse l'offre et que je grogne -façon chat x)-.
Je regardais la jeune fille qui se pencha vers moi.
- Tu as un nom ?
Je me recula un peu, feulant. En effet, sur le haut de ma cage était marqué "fripouille". Mais ce n'était pas du tout mon vrai nom. C'est tellement moche ...
Je ne pris même pas la peine de lui adresser la parole.

Je soupirai en voyant qu'il ne répondait pas.
- Quel dommage... Un muet.
Je jetais un oeil à sa fiche et un sourire apparut sur mes lèvres, je m'en lechais les doigts. La vendeuse me regarda.
- Qu'est-ce qui vous faire rire, si je puis me permettre ?
Je lachais un petit rire empli de méchanceté et James fronça les sourcils, et me jeta un oeil interrogateur.
- Ce pauvre muet, n'en a plus pour longtemps. J'avais oublié que vous euthanasier les nekos invendus depuis plus de 6 mois. C'est une très bonne idée, je me ferai un plaisir de venir ici voir les mis à mort.
J'ébouriffais les cheveux du rat... Heu, chat, pardon.
James soupira, pris de compassion pour celui ci, et la vendeuse me souris.
- Bien. A jamais alors, le muet. Fis-je à l'animal.

Elle regarda ma fiche, je restait bien sagement a la regarder.
- Ce pauvre muet, n'en a plus pour longtemps. J'avais oublié que vous euthanasier les nekos invendus depuis plus de 6 mois. C'est une très bonne idée, je me ferai un plaisir de venir ici voir les mis à mort.
Je le savait ça. Et c'était bien pour ça que je ne voulais pas qu'on m'achète. Je ne veux pas devenir un esclave, c'est impossible.
Je fis un petit sourire, comme si j'étais content, content ? Oui, en effet.
Puis elle m’ébouriffa les cheveux, je m'écarta subitement en lui mordant le poignet.
Puis je lui lâcha en feulant.

Il me mordit, mais je ne sentis rien, plus forte que j'en avais l'air. Je levais un sourcil.
Puis, l'ignorant je regardais la vendeuse.
- Comment vous les tuer ?
Elle me souris.
- La méthode douce mademoiselle, euthanasie.
Je levais les yeux au ciel et époustais ma robe.
- Vous êtes absolument ridicules. Doucement ? Et puis quoi encore ? Ce sont tout de même des erreurs de la nature... Mm. Celui là...
- Vous avez quelque chose à nous suggérez ? Fit la vendeuse en prenant un carnet.
- Oui. Je déteste qu'on me morde, même si je ne sens rien, j'ai peux être attrapé l'une de ses hideuses maladies. Pour celui ci ce sera le fouet, le fer et tout cela pendant six mois d'affilé. Hm. Mettez l'eau bouillante aussi. C'est tellement delectant de les voir nous suppliez de les achever...
Je me lechais les lèvres et décrochais un sourire, puis je me dirigeais vers la sortie de la boutique.

J'étais retourné au fond de la cage, encore énervé.
Je les écoutais.
- Oui. Je déteste qu'on me morde, même si je ne sens rien, j'ai peux être attrapé l'une de ses hideuses maladies. Pour celui ci ce sera le fouet, le fer et tout cela pendant six mois d'affilé. Hm. Mettez l'eau bouillante aussi. C'est tellement delectant de les voir nous suppliez de les achever...
Je regardais la jeune fille, les yeux écarquillés.
Je regardais la vendeuse et lui arracha son calepin.
- N-NAN ! HEY ! Arrêtez ! J'veux mourir mais pas comme ça !
Ma voie était douce mais c'était celle d'un homme, grave, mais pas trop.

J'entendis un carnet tombé par terre et une toute petite voix grave.
- N-NAN ! HEY ! Arrêtez ! J'veux mourir mais pas comme ça !
Je me retournais et vis la vendeuse grogné et ramassé son carnet.
- Nous obéirons aux ordres de mademoiselle De Montespan... C'est l'une des héritières des plus grandes fortunes de l'île...
Je soupirai et me retournais, faisant tourné les plis de ma robe couleur ébène. Bordé de dentelles en tout genre, et à motifs divers.
Je revins vers l'animal.
- Oh. Mais voilà un miracle ! Le muet ne l'es plus. Il faut appelé le journal.
Je me raclais la gorge.
- Bref. Tu préfère mourir dans d'atroces souffrances ou venir avec moi ?

Je m'assis tel un homme, sur le rebord de la cage.
- Nous obéirons aux ordres de mademoiselle De Montespan... C'est l'une des héritières des plus grandes fortunes de l'île...
Je grogna doucement, puis vis "Mademoiselle de Montespan", s'approcher de moi.
- Oh. Mais voilà un miracle ! Le muet ne l'es plus. Il faut appelé le journal.
Je fronça les sourcils.
- Bref. Tu préfère mourir dans d'atroces souffrances ou venir avec moi ?
J'écarquilla les yeux.
- Hein ?
Cette fille est vraiment étrange ... Je repris mes esprits et lui tendis la chaine jaune qui tenait mon collier rose.
- C'est vous qui décidez ... Maîtresse.

- C'est vous qui décidez ... Maîtresse.
Je souris, satisfaite. Comme d'habitude, j'avais eue ce que je voulais. J'allumais une cigarette et mon majordome, du même age que moi me regarda.
- Mademoiselle, si je puis me permettre... Je pense que ce n'est pas raisonnable d'acheter un nouvel hybride... Vous en avez déjà tellement au Château...
Je soupirai et fumais, soufflant la fumée au visage de James. Celui ci toussa.
- Décontractez vous, darling, tout vas bien. Fumez un coup. Papa ne me refuse rien, je le rammène et je verrais ce que je peux en faire.
James hocha la tête à contre coeur et la vendeuse alla me chercher les papiers que je signais.
Après l'administration rêglée je regardais l'animal.
- Alors. C'est quoi ton nom ? J'espère que ce n'est pas "Fripouille", c'est tellement laid.

- Alors. C'est quoi ton nom ? J'espère que ce n'est pas "Fripouille", c'est tellement laid.
Je la regarda, impassible. En effet, même si je pensais la même choque qu'elle cela ne me choquait absolument pas.
Puis je tourna le regard vers la cage, j'avais oublié ma balle.
- K... Je m'appelle Kuroko.
Je tirais sur la chaine pour essayer de la prendre, elle n'était pas très loin.
C'était comme mon doudou, elle était avec moi depuis tellement d'année.

- K... Je m'appelle Kuroko.
J'hochais la tête et soupirai.
- Okay. On garde ça.
Je le vis essayer d'atteindre sa balle et pour une fois, fus assez sympa pour la prendre et lui donné. Ensuite, je me levais et tirais sur sa chaine.
La vendeuse lui mis au bras un bracelet qui voulais dire qu'il m'appartenais, et qui me permettrai de le retrouver si jamais il s'enfuiyais.

Je tendis la balle au majordome.
- T'peux la garder, James ? 83
Puis je regarda la vendeuse qui me mit le bracelet, le bracelet super moche.
Je mordais le bracelet pour l'enlever.

- T'peux la garder, James ? 83
James leva un sourcil et allait dire quelque chose mais je le coupais en éclatant littéralement de rire. Je regardais l'hybride, puis mon magordome.
- Hé bien, faites ce qu'il vous dis.
Il begueilla et dut se résoudre à prendre la balle baveuse.

Je lâcha le bracelet et les regardaient.
- Vous ferez un beau couple ! ^w^
Je fis un petit rire et pris ma queue dans ma main pour l'empêcher de gigoter.

- Vous feriez un beau couple ^w^
Je levais un sourcil et James rougis. Je continuais de fumer et regarda l'animal aux cheveux roses.
- Pour moi, les hommes ne servent qu'a une chose : nous procurer du plaisir à travers le sexe. L'amour n'est qu'une perte de temps.
Le majordome sembla déçu mais je ne remarquais rien.

- Le Sexe ?
Oui bon ça va il est puceau, en effet TT. Je remarqua l'air déçue de James et lui fit un petit sourire.
Je me frotta la tête un peu gêner.
- C'est quoi le sexe ?
En effet, je n'ai jamais été élever, du coup on ne m'a pas appris ce que c'était.

- C'est quoi le sexe.
J'écarquillais les yeux, et le regardais, James m'imita et nous parlâmes en même temps.
- TU NE SAIS PAS CE QU'EST LE SEXE ?!
Je me raclais la gorge et écrasa ma cigarette sur un des barreaux de la cage.Je soupirai.
- Mon Dieu. Tu ne sais même pas ce qu'est la plus belle chose de la vie...
James rougis et me regarda.
- Mademoiselle...
- Quoi ?
- Vous dites ça comme si c'était vital...
- Ca l'est. Aufaite, ce soir, 23 heures.
Il rougis de plus belle et hocha la tête. je tournais la mienne vers l'animal.
- Hm. Il faudra que je te trouve une hybride qui t'apprendrais de quoi il s'agit.

- TU NE SAIS PAS CE QU'EST LE SEXE ?!
Je ne comprenais pas pourquoi il me criait dessus.
- Désolé ><.
Puis je regardais James qui n'arrêtais pas de rougir.
- Est ce que James est amoureux de vous ?
Je réfléchis.
- Vous faites le sexe ensemble ?
Je souris.
- Une hybride femelle ? Je haussais les épaules. Faut qu'elle soit mignonne alors !

- Est ce que James est amoureux de vous ?
Je tournais mon regard vers l'interressé, qui ne pouvais pas être plus rouge.
James était plutôt mignon, il avait des cheveux couleur charbon, était faim, mesurait 1 m 80... Bref. Mais comme je vous l'ai dis, je n'étais absolument pas interessé par l'amour.
- P...Pas du..T..Tout ! Je ne me permetterai pas !
Je soupirai, devinais.
- De toute façon, vous savez que ça ne m'interesse pas. Mais ce soir tout de même.
Je regardais l'hybride.
- Oui. Je couche avec la plupart de mes employés.

- Oui. Je couche avec la plupart de mes employés.
Je réfléchissais ne comprenant rien de rien.
- Couché ?
Je penchais ma tête sur le coté.
Je comprends rien ! Vous pouvez pas me montrer comment on fait le sexe vous deux ? TT
Je soupirais impatient.